Text Diskussion:August Lustig/A. Lustig Sämtliche Werke: Band 1/Im Frieihjohr.
En français
[Quälltäxt bearbeite]Au printemps.
Comme il est aimable, le rire du rayon de soleil
Qui descend du ciel bleu,
Comme la nature est donc partout
Si merveilleuse maintenant de nouveau !
Comme elle invite amicalement
A lui faire une visite,
Elle promet maintes parties de plaisir
A proximité et au loin.
Cependant on doit passer à côté,
On doit lui tourner le dos,
On doit de nouveau se tenir à son travail
Et se défendre pour la vie.
L’esprit seul s’en va alors,
Bascule dans le lointain
En des lieux où, silencieux et heureux
Il voudrait bien passer une heure.
Ainsi il rase montagne et vallée,
Va sur de vertes prairies,
Et suit dans le sentier forestier, étroit et fin,
En silence, des ombres foncées.
Par de sombres forêts de sapin bientôt
Il grimpe maintenant vers le haut
Et autour de lui, plein de secret,
Tout se tait déjà dans la forêt.
Comme dans un rêve, il flotte à travers
Et écoute ce silence,
Et il n’y a plus que sa magie
Qui maintenant le remplit complètement.
Mais toujours plus haut, sans répit,
Il pousse son désir plus loin,
Jusqu’à ce qu’il atteint presque
Le sommet des nuages.
Là-haut, presque hors du monde,
En plein dans le ciel, dans le bleu,
Là il voudrait bien volontiers
Planter sa tente pour toujours.