Text Diskussion:August Lustig/A. Lustig Sämtliche Werke: Band 1/'s Frieihjohr.

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Le printemps.

Ìwersetzung uf Frànzeesch

Enfin, enfin il va maintenant venir,
Enfin le printemps va bientôt arriver !
Et l'hiver, cet imbécile,
Devra alors faire ses adieux.

Il est donc resté assez longtemps
Avec sa glace et sa neige cette année ;
Nous nous sommes maintenant assez longtemps frotté les mains
Et chauffés sans attendre, n'est-ce pas ?

Ainsi on se met à déprimer !
Pour sûr, on ne peut plus ne fier à rien ;
Même pas « Mathis », malheureusement,
Ne tient plus parole.

Cette année, au lieu de venir briser la glace,
Il en a encore ajouté ;[1]
Plus aucun ne tient ses promesses,
Quand bien même il agit en saint.

Mais même s'ils continuent à se défendre ainsi,
Les saints de tous bords,
Le printemps va maintenant quand même revenir ;
Il n'est tout de même pas banni pour toujours !

Bientôt le soleil brillera de nouveau
Là-haut depuis le ciel, chaud et bon,
Va réconforter (réchauffer) les membres affaiblis
Et à nouveau réchauffer le sang.

Déjà tous les garçons se languissent,
Que les tiges de saules redeviennent juteuses
Dehors dans la forêt, bientôt va à nouveau retentir
La trompe, joyeusement.

La trompe est généralement la première à annoncer
Le beau temps, les jours heureux ;
Sa musique fait disparaître
Pour les gens les soucis de l'hiver.

Le cœur vous en est réjoui ;
Les joies du printemps tirent dedans ;
On ouvre vite la fenêtre,
On remise avec du poivre les fourrures et les manchons.[2]

Et le dimanche on sort,
On apporte le bonjour à la forêt du Tannenwald,
On se rit de Mulhouse, notre ville
Qui gît là en-bas dans la suie.

Joyeux, on va par les champs,
A travers la forêt et on se cherche en bordure
Un petit bouquet de violettes,
C'est le premier gage du printemps.

Le soir on entend de nouveau le merle
Chanter sa mélodie
Seul dans les buissons là-haut ;
Là on se sent heureux.

Tout, tout se réveille
De nouveau en ces belles heures ;
L'enfant comme le vieillard, le faible,
Se réjouit habituellement, quand le printemps vient !

--MireilleLibmann (Diskussion) 22:50, 1. Apr. 2013 (MESZ)--[Antwort gee]

  1. Màthis brìcht s Is
    un hàt'r keins
    so màcht'r eins.
  2. Mìt Pfaffer losst sìch dr Pelz besser hàlta.  FrànzeeschLe poivre favorise la bonne conservation de la fourrure.